FIFRACOL • Origami, photos, plaisirs de l’esprit

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Prochaine interrogation écrite : «le pluriel des jours de la semaine».

Se pût-il que déjà vous ne la sussiez, la règle sur le pluriel des jours de la semaine ?

Doit-on mettre la marque du pluriel aux jours de la semaine ?

Eh bien, oui ! Lundi, mardi etc… sont des noms communs soumis aux mêmes règles d'accord que les autres noms communs.
On écrit donc : tous les lundis et tous les dimanches.
Sauf que... vous vous doutez bien que cela ne peut pas être aussi simple ! 😄

Lorsque ce même jour est suivi par une description de temps, la semaine par exemple, il faut compter le nombre de ces jours dans cet intervalle de temps.
Dans une semaine, il n'y a qu'un seul lundi et on écrit donc : tous les lundi de chaque semaine.
Vous suivez toujours ?
Si on passe au mois, il y a cette fois plusieurs jours qui sont un lundi dans un mois et on écrit donc :
« La réunion a lieu les premier et troisième lundis de chaque mois. » (• Au passage, vous remarquerez que premier et troisième sont au singulier puisqu'il n'y a qu'un premier et qu'un troisième lundis dans un mois.  )

C'est dans ce même ordre d'idée qu'on écrit : tous les dimanches matin, et tous les mardi soir de chaque semaine.
Dans le premier cas, matin est au singulier : on parle de tous les dimanches, certes, mais il n’y a qu’un seul matin dans une journée de dimanche.
Dans le deuxième cas, il n'y a qu'un seul mardi dans la semaine d'où le singulier et il n'y a toujours qu'un seul soir dans un mardi.

Vous faillîtes ne point connaître ces subtilités de la langue française. En ce jour, que nenni ! 😅

NB1 : L'interrogation orale aura lieu de façon intempestive un de ces jours !...

NB2 : Voilà qui vous déconfine les méninges, n’est-ce pas ?...

Ouf ! j'ai mal à  la tête !!!

[ © Trouvé sur le Net…]

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... trouvées sur le site du «Robert Koch Institut»

► En sont extraites ici les plus parlantes :

• Taux de reproduction de base R0 : 2,3 à 3,3 (= 2,3 à 3,3 personnes sont “contagiées” par 1 porteur du virus)
• Temps d'incubation : 5 à 6 jours en moyenne (amplitude : 1 à 14 jours)
• Ratio cas infectés / cas détectés :  de 4,5 à 10,1
• Ratio malades symptomatiques / cas infectés : 58 % (à confirmer)
• 80 % des malades ont une forme assez légère
• 14 % des malades développent une forme grave mais non létale ; ce taux est moindre si la maladie est détectée par enquête de contamination
• 6 % des malades sont en danger de mort
• Mortalité sur cas détectés : de 0,8 % (autres provinces Chine)  à 5 % (province chinoise d'Hubei) ; la variation est à mettre en rapport avec la capacité de traitement du système hospitalier, notamment des unités de soins intensifs
• Pour la Chine, sur  N=55 924 cas confirmés,  78 % des cas avaient entre 30 et 69 ans, et les jeunes de moins de 20 ans ne représentaient que 2,6 % des cas.
• Cinématique approchée :
  • si J = jour de début de la maladie,
  • la pneumonie apparaît vers J+4 en moyenne (de 2 à 7),
  • la défaillance respiratoire aigüe apparaît vers J+8 à 9 jours ;
  • la convalescence dans les cas graves dure entre 3 et 6 semaines.

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Dépêchez-vous, il est encore temps de faire migrer votre de PC équipé de Windows 7 vers Windows 10

... et ce, GRATUITEMENT ! Mais ça ne saurait durer : dépêchez-vous (si vous êtes coincé·e chez vous pour raison sanitaire, profitez-en ! 😉).

Alors que Microsoft a annoncé la fin de la maintenance du système Windows 7 à partir du 14 janvier dernier, il vous reste un espoir, bien que retardataire, de passer à Windows 10 gratuitement (sous réserve que vous ne tardiez pas).

Pour ce faire, commencez par sauvegarder vos documents et fichiers personnels sur un disque externe, par prudence : le changement de système (= Windows 7 vers Windows 10) crée un léger risque de perte de ces données, mieux vaut prendre les devants !

Procédez ensuite ainsi :

• réinitialisez votre licence Windows (7) en passant par l'Invite de Commande en tant qu'administrateur : faites sur votre clavier, simultanément, [TOUCHE WINDOWS + R] ; entrez cmd dans le champ qui s'affiche, puis validez en faisant au clavier, simultanément : [CTRL + MAJ + ENTRÉE] ; cela ouvre une fenêtre à fond noir
• tapez-y slmgr /dlv (espace entre les deux chaînes de caractères) pour connaître l'identifiant d'activation, puis [ENTRÉE] ; NOTEZ-LE SCRUPULEUSEMENT ; vous pouvez aussi faire une capture d'écran de la petite fenêtre d'information qui s'affiche, puis l'imprimer lisiblement
• tapez slmgr /upk (espace entre les deux chaînes de caractères), suivi d'un espace et de l'identifiant précédemment noté, puis [ENTRÉE]
• tapez slmgr /rearm (espace comme précédemment), puis [ENTRÉE]
• redémarrez le PC

Si par la suite l'activation de Windows 10 pose problème plus tard,

• tapez slmgr /ipk (espace comme précédemment) après avoir ouvert l'invite de commande dans Windows 10 — même procédure que précédemment (cmd) ; faites suivre cette commande d'un espace puis de l'identifiant d'activation,

Créez maintenant une clé USB d'installation de système, et contenant Windows 10 ; pour cela :

• téléchargez l'utilitaire Windows 10 Media Creation Tool  (par ex ICI), puis lancez-le
• branchez une clé USB suffisamment vaste et vide (16 Go), puis lancez l'utilitaire téléchargé et suivez les instructions à l'écran. Pour tout cela, vous êtes contraint·e d'accepter les règles d'utilisation...
• choisissez de mettre à niveau CE PC
• “suivant” pour lancer le téléchargement, puis, automatiquement, installer.

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Après le grand art, “l'art” du bricolo du dimanche !

Eh oui, après tous ces beaux billets (je l'espère...) sur Charlotte Perriand et ses si talentueux amis, voilà votre serviteur obligé de rhabiller son clavier d'ordinateur.

[pour info: toutes les images sont cliquables...]

D'abord pour lui restituer ses petits ergots, sur les touches "F" et "J", qui permettent de taper sans jamais regarder son clavier : on place ses index "en aveugle" sur le clavier en les positionnant grâce au seul toucher, d'où ces petits repères qui, se trouvant sur des touches souvent utilisées (pas le plus, mais quand même...), finissent par s'estomper au point de mettre en danger le placement des doigts sans jeter un petit coup d’œil sur la place des index...

Voilà donc mon clavier, avec ses touches "F" et "J" décorées d'une petite perle incise et collée dans chaque touche légèrement perforée : j'ai de nouveau un clavier est tout à fait fonctionnel.

Car, oui, je tape en aveugle sur tout clavier AZERTY : j'ai appris très tôt (dès que j'ai eu un clavier d'ordinateur sous les doigts, grâce à une méthode de dactylo facile à suivre (existe-t-elle toujours) ? Il n'y avait pas encore tous ces cours en ligne qu'on trouve maintenant sur Internet (il n'y avait même pas Internet alors ! — Si, si : il fut un temps où il n'y avait pas Internet !).

Et, comme j'ai toujours trouvé que la disposition AZERTY n'était pas "top" (certaines touches sont vraiment mal placées, nom d'une pipe, même si je n'y pense plus trop, c'est vrai !), je me mets à la disposition BÉPO, qui, notamment, permet l'accès direct aux caractères majuscules accentués, ce qui manque vraiment beaucoup aux claviers AZERTY standards.

Encore fallait-il se remettre dans le bain de l'apprentissage correctement : le mieux c'est quand même d'avoir un clavier "muet" avec les « couleurs des doigts ». Je me suis donc racheté en occasion un clavier azerty très ordinaire à 3 euros, dans un bazar, et, après l'avoir sommairement nettoyé et lui avoir donc rajouté les ergots qui s'étaient érodés, je lui ai collé de petits stickers tout ronds et colorés en fonction des doigts (quand on a pris l'habitude de taper "en aveugle", on ne sait même plus quelles touches sont affectées à quels doigts, figurez-vous !).

Et me voilà avec un clavier "de carnaval" 😄 qui me donne à nouveau envie de reprendre les apprentissages.

► Si la frappe BÉPO vous intéresse, allez donc sur le site qui lui est dédiée :
          https://bepo.fr/wiki/Accueil